• The New Year Vs Terrence Malick

    Eternelle promenade sur les chemins des sentiments, de nos joies et de nos larmes. La nature nous rend à l'humilité, avec son langage étrange. Le chant des frondaisons, la colère du torrent et le parfum de la sève sécrètent dans nos mémoires les éclats de l'enfance. Un Eden révélateur.

     

     

    Cette plénitude se fendille toujours. C'est le rythme essentiel de Terrence Malick, le long horizon s'embrase. Les immenses plaines si calmes deviennent les territoires du carnage. Intenses beauté et cruauté de l'existence. Les frères Kadane l'avouaient: " I don't know about God but I'm sure there's a devil. "

     

     Malick protège ses décors et le rythme de ses plans, faisant monter doucement la tension, la terreur. Le calme avant la tempête. Il ressort après ces incendies une profonde mélancolie et une bouleversante réflexion sur le temps et l'existence.

     

     

    Images poétiques, sonorités intimes. Ces deux univers se lovent l'un dans l'autre avec puissance et candeur.

    On les regarde, on les écoute et on sait qu'ils ne nous quitteront jamais.

     

     

     

     

     

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    Samedi 7 Janvier 2012 à 03:07

    belstaff bag

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